La vie de l’Œuvre…


























‍Nos joies – Nos peines


‍Naissance

‍Bastien Lafay, ancien de l’Œuvre, et son épouse Alexandra, ont la joie de nous faire part de la naissance de leur deuxième enfant, Albane, le 15 janvier dernier. Nous adressons aux heureux parents toutes nos félicitations et à Albane tous nos vœux de santé et de bonheur. Sans oublier les heureux grands-parents dont Patrick Lafay, fidèle membre du bureau des anciens et travailleurs du jeudi.

‍Décès

‍Janine Clermont à la peine de nous apprendre le décès de son époux, Jean Clermont, le 5 septembre 2019. Jean était le neveu de Charles Verdot, Monsieur de la communauté de l’Œuvre décédé en 2001. ‍Nous ‍adressons ‍à Janine ainsi qu’à toute sa famille, nos sincères condoléances et toutes nos amitiés.

‍Elfie et Romaric Galland, anciens de l’Œuvre, ont la peine de nous apprendre le décès de leur père, André Galland, le 10 janvier dernier. ‍Nous ‍leur ‍adressons ‍ainsi qu’à toute leur famille, nos sincères condoléances et toutes nos amitiés.

‍La cuvée du Bicentenaire…

‍Dans le cadre du Bicentenaire (1820 - 2020) de l'installation de l'Œuvre à la rue Saint Savournin, une cuvée «prestige» de vin rouge sera commercialisée à partir du 12 janvier 2020 (qui sera la première manifestation du Bicentenaire: fête de l’Épiphanie).


‍Ce vin est proposé au prix de 10 euros la bouteille et 50 euros le carton de 6 bouteilles.


‍Caractéristiques de ce vin:

‍Château d'Astros AOP (Appelation d'Origine Protégée). 

‍Côtes de Provence - rouge - 2016. 

‍Cuvée de syrah et de grenache aux tanins souples et élégants, fruitée et épicée.



‍Réservations auprès de Manuel Seferian

‍par email : manuel.seferian@free.fr ou téléphone : 06 70 07 82 26.


‍Les chèques sont à établir à l'ordre de : OJJA (indiquer au dos du chèque: Cuvée Bicentenaire avec le nombre de bouteilles et/ou cartons).

‍Ils sont à adresser par courrier à l'adresse suivante:

‍Oeuvre JJ Allemand

‍Cuvée Bicentenaire

‍41 rue Saint Savournin

‍13005 Marseille


‍Les bouteilles commandées seront à retirer le 12 janvier 2020.

‍Le vin sera également vendu lors des différentes manifestations de l'année 2020 du Bicentenaire.


‍Bourse au ski – Hiver 2020

‍Rappel Foire au ski:

‍Le samedi 8 à partir de 15 h, le dimanche 9 de 10 h à 11 h avant la messe et après pendant le verre de l’amitié, derniers jours pour trouver la pièce manquante pour le départ au camp de ski. 

‍Si vous avez un peu de temps pour rejoindre l’équipe bénévole c’est un plus. Merci d’avance!

‍Pour tout complément d’information :

‍Marie-Geneviève Ortollan (hemages@icloud.com – 06 46 50 09 81)


‍Téléphones portables…

‍La gestion et l’utilisation des téléphones portables et des appareils connectés sont problématiques dans le cadre de l’Œuvre. Devant le nombre croissant de pertes et de vols et l’incapacité de certains jeunes à utiliser les objets connectés avec mesure nous vous demandons de ne pas laisser vos enfants venir à l’Œuvre avec ces appareils. Un téléphone fixe est à la disposition des jeunes qui doivent appeler les parents. Les parents peuvent joindre l’Œuvre pour contacter les enfants au 04 96 12 23 23.

‍L’Œuvre ne saurait être responsable en cas de vol ou de dégradation de ces appareils.

‍L’équipe dirigeante de l’Œuvre


‍La chanson du Bicentenaire…

‍Ici on joue ici on prie

‍Ici on joue ici on rit

‍Tous les jours dès l’aurore

‍Des jeux on en veut

‍On en veut encore


‍De Larche à Carabelle

‍Le printemps chasse l’hiver

‍Du ski à la balle au pied

‍Voici venir l’été    /Refrain


‍Les grosses chaleurs la canicule

‍C’est le moment de la «molécule»

‍À ce jeu ce n’est pas gagné

‍Le trio faut jamais le casser    /Refrain


‍Aux vacances scolaires

‍On change d’air

‍La tente le barda

‍Et vogue la galère    /Refrain


‍Dans les camps l’amitié s’resserre

‍Merci Jean-Joseph Allemand

‍À St-Sa ça dure depuis… depuis 200 ans (x3)


‍Minoye


‍Souscription 2019


‍Pour l’année 2019, 425 familles d’actifs, anciens et amis ont fait un don généreux suite à notre appel annuel à souscription. Nous avons lancé l’appel pour l’année 2020, avec un budget estimé à 180000€ cette année, soit, à titre indicatif, 400 € par famille…

‍Un grand merci à tous ceux qui ont déjà témoigné leur attachement à la mission de l’Œuvre.

‍En 2019 moins des deux tiers des familles qui ont des enfants inscrits à l’Œuvre ont participé à la souscription! Nous avons reçu au total près de 86 500 € de la part des familles, des anciens et des amis de l’Œuvre, ce qui représente 49,5 % des dépenses engagées dans le fonctionnement de l’Œuvre hors les camps de vacances. Le reste a été financé par la cotisation annuelle, la Kermesse et des recettes diverses.

‍Nous nous permettons d’insister pour que chacun ait à cœur de contribuer au fonctionnement de l’Œuvre quels que soient ses moyens. Nous comprenons que certains ne puissent faire qu’un versement modeste, mais l’absence totale de participation semblerait indiquer un manque total d’intérêt pour notre action auprès des jeunes, et le faible pourcentage de familles participant à la souscription nous laisse quelque peu perplexes.

‍Nous souhaitons un versement par chèque bancaire à l’ordre de l’Œuvre J.-J. Allemand, en mentionnant bien au verso « Souscription » ou un virement (IBAN : FR90 2004 1010 0800 5037 9Z02 970 – BIC : PSSTFRPPMAR). Vous avez aussi la possibilité d’échelonner les versements. L’Œuvre étant reconnue d’utilité publique, il vous sera adressé un reçu fiscal qui vous permettra de bénéficier d’une réduction d’impôt (actuellement le taux de déduction est de 66% pour chaque don).

‍L’équipe dirigeante de l’Œuvre


‍Téléphoner aux jeunes en camp 


‍Durant les camps organisés pendant les vacances de la Toussaint, notre réseau téléphonique et informatique était en panne à Carabelle. Il y avait le réseau cellulaire, mais il est tellement médiocre dans la maison que nous sommes obligés d’aller sur la route pour consulter les messages. Le bilan de ce séjour sans communication à été plus que positif et nous a poussés à réfléchir avec les responsables et les animateurs quand à l’utilité de proposer aux familles de joindre les enfants pendant les camps. Il y a eu beaucoup moins de coup de cafard de la part des enfants, ce qui arrive parfois lorsque certains jeunes sont appelés à chaque repas alors que d’autres le sont plus rarement. Pour les responsables aussi la situation a été agréable, car il arrive qu’ils soient tellement sollicités par les appels téléphoniques qu’ils n’ont plus le temps de s’assoir pour diner avec les jeunes !

‍C’est pourquoi nous vous proposons maintenant le fonctionnement suivant lors de nos séjours de vacances : les numéros de téléphones des personnes responsables et de la maison seront distribués aux parents au moment du départ. Pour la bonne marche du séjour et pour maintenir le moral des jeunes, merci de n’appeler qu’en cas d’extrême urgence. Si vous voulez avoir des informations sur le déroulement du séjour, vous pourrez consulter la page Facebook de l’Œuvre (stsa.ojja) ou envoyer un message texte sur un des téléphones portables. Merci de votre compréhension…

‍L’équipe dirigeante de l’Œuvre



‍Partage parents

‍Un jeudi soir par mois, proposition pour les parents de partager une soirée de réflexion et de discussion.

‍L’option préférentielle pour les pauvres

‍«Dans les conditions actuelles de la société mondiale, où il y a tant d’inégalités et où sont toujours plus nombreuses les personnes marginalisées, privées des droits humains fondamentaux, le principe du bien commun devient immédiatement comme conséquence logique et inéluctable, un appel à la solidarité et à une option préférentielle pour les plus pauvres. Cette option implique de tirer les conséquences de la destination commune des biens de la terre, mais, comme j’ai essayé de l’exprimer dans l’Exhortation apostolique Evangelii gaudium, elle exige de considérer avant tout l’immense dignité du pauvre à la lumière des convictions de foi les plus profondes. Il suffit de regarder la réalité pour comprendre que cette option est aujourd’hui une exigence éthique fondamentale pour la réalisation effective du bien commun.»


‍C’est à partir de cette citation du pape François dans son encyclique Laudato si que nous partagerons lors du prochain partage parents : jeudi 30 janvier.
Rdv à 20 h avec un plat à partager.
Possibilité de participer à la célébration de la Messe avec la communauté à 19 h 15.
Fin vers 22 h 30.


‍Ciné-Club de St-Sa

‍Critique film Le dernier combat (1983), de Luc Besson

‍Dans un univers post-apocalyptique à la Mad Max, un homme part à l’aventure et tente de retrouver une humanité qui semble perdue dans sa lutte pour sa survie. Le dernier combat… Si on veut décourager les meilleures volontés, on pourrait dire de ce film qu’il est en noir et blanc, sans dialogue, que les décors sont minimalistes et qu’il semble fait avec trois bouts de ficelle et un peu de scotch. Ce serait vrai, mais ça ne dirait rien de la fantaisie, de l’inventivité de la réalisation, le jeu presque théâtral des acteurs, ni de la poésie qui se dégage de ce film de jeunesse de Besson. À découvrir !

‍Étrangement, «Humanité» est le premier mot qui nous est venu à l'esprit après la projection du premier long métrage de Luc Besson (1983). Une humanité fragilisée, en difficulté dans cet univers de ruines persistant sous un désert de sable (après quelle catastrophe?), alors que dominent la violence et la brutalité, la loi du plus fort pour survivre. Mais cette violence est reléguée en toile de fond, en périphérie, pour mettre en lumière et au cœur du récit la résistance de deux personnages, par des moments forts, et pourtant simples; le plaisir d'un repas partagé, d’un mot échangé, le seul du film… et quel mot. L'art, l'amitié et l'humour comme rempart à la bestialité.

‍La musique est rare, souvent fond sonore issu de la scène même, et date assez bien le film dans les années 1980 avec cette basse qui prend parfois des airs cocasses. En revanche les assez belles images en noir et blanc donnent au film un esthétisme relativement intemporel et adapté au scénario. Beaucoup de silence (le vide des ondes…), et le mutisme subi des personnages dont les cordes vocales ne vibrent plus, créent une ambiance particulière, qui nous installe profondément dans le film, et met en valeur le jeu des acteurs, notamment Jean Bouise, Pierre Jolivet et Jean Reno.

‍La Femme, dans ce monde dominé par la force, devient objet de convoitise et d'attentions, pas exactement pour son bonheur… On la croise brièvement, bien qu'elle représente évidemment une des facettes de l'expression de cette humanité.


‍C'est l’acteur Maurice Lamy, l'égoutier ici, qui assurera la transition avec le prochain film à l’affiche le jeudi 9 janvier: Delicatessen (de Jean-Pierre Jeunet, et Marc Caro), dans lequel il continue à explorer les tunnels...



‍Prochain ciné-club de St-Sa : jeudi 9 janvier.
Rdv à 20 h avec une plat à partage.
Possibilité de participer à la célébration de la Messe avec la communauté à 19 h 15.



‍Les messieurs de l’Œuvre

‍À l’occasion de l’ordination de Didier Rocca comme prêtre dans la communauté, nous nous rendons compte que beaucoup de jeunes et de parents ne savent pas ce que sont les messieurs de l’Œuvre. Un prêtre, ils connaissent, mais un religieux, ils l’ignorent.


‍Des religieux

‍Les messieurs, comme on les appelle à l’Œuvre, sont en réalité des religieux. Ils vivent en communauté, tous dans la même maison, avec chacun sa chambre et des pièces communes qu’ils partagent: cuisine, salle à manger… Ils prient trois fois par jour ensemble (matin, midi et soir), célèbrent la messe tous les soirs, ont des temps de réflexion et de partage, mangent ensemble. À St-Sa ils sont cinq: Jean-Marie, le plus âgé, puis Jacques, Gérard, Olivier et Robert. Aux Iris, la deuxième maison où il y a des messieurs de la même communauté, il y a Yves (mais qui est maintenant en maison de retraite car très diminué et désorienté), André Clément, André Espagnach, Bruno et Didier (qui a vécu un an à St-Sa l’année dernière et qui va être ordonné prêtre le 13 janvier prochain à la cathédrale de Marseille). Les deux communautés «locales» (St-Sa et les Iris) se retrouvent tous les lundis soir pour célébrer la messe, partager un temps d’information ou de réflexion et dîner ensemble. La communauté générale se retrouve régulièrement pour des temps plus longs de rencontre: le samedi matin, ou durant le week-end de Pâques, et enfin cinq jours dans l’abbaye de Ganagobie pour une retraite à la fin de l’été.


‍Les vœux

‍Comme tous les religieux, les messieurs font ce que l’on appelle des «vœux»: des engagements qui les aident à vivre plus radicalement leur baptême en essayant d’être exigeants sur certains aspects importants de la vie chrétienne. Ils font les vœux de pauvreté (rien ne leur appartient, ils partagent tout: ce qu’ils gagnent comme ce qui est à leur disposition pour vivre), de chasteté (ils ne se marient pas, n’ont pas d’enfant et veillent à respecter toute personne en cherchant à lui témoigner un amour égal en voulant son bien avant toute chose), et d’obéissance (ils ne choisissent pas leur mission dans la communauté ou au service de l’Œuvre, ils ne cherchent pas à «faire carrière» mais veillent à mettre humblement au service de tous les dons qu’ils ont la chance d’avoir). Ces trois vœux sont communs à presque toutes les religieuses et à tous les religieux qui existent. Les messieurs de l’Œuvre font aussi le vœu de stabilité (rester fidèlement attachés à la communauté, à l’Œuvre, aux jeunes et à la mission d’éducation chrétienne voulue par Jean-Joseph Allemand, le fondateur de la communauté) et un vœu particulier à la communauté de l’Œuvre, celui de «zèle» (un mot ancien pour dire: avoir la passion pour accompagner les jeunes dans leur croissance et tout mettre en œuvre sans jamais se décourager pour vivre cette mission… en bref, le vœu de garder «la pêche» quoi qu’il arrive).


‍Le travail

‍La particularité des messieurs de l’Œuvre, c’est qu’à côté de leur mission auprès des jeunes, ils ont un travail «normal» pendant les temps où l’Œuvre n’est pas ouverte pour l’accueil des jeunes. Par exemple parmi ceux que vous connaissez il y a un opticien, un ingénieur, un comptable, un cuisinier, un professeur. Dans leur métier on ne sait pas toujours qu’ils vivent comme des moines, mais ils partagent la vie de leurs collègues de travail et témoignent là où ils sont de l’amour de Dieu qui s’intéresse à tout le monde. Ceux qui sont prêtres ont aussi une dimension professionnelle dans leur vie, mais ils sont souvent sollicités pour s’impliquer dans des services d’Église. Les messieurs ont fait le choix de ne pas avoir d’habit religieux ni de signe distinctif.


‍Le «chapitre général»

‍Tous les 4 ans les messieurs élisent celui d’entre eux qui sera leur supérieur et qui aura la mission de les guider pour mettre en œuvre la mission auprès des jeunes à partir d’orientations qu’ils auront prises pendant une période de réflexion et de travail qui s’appelle «le chapitre général» (une sorte d’assemblée générale, dont le nom fait référence à la réunion régulière des moines qui lisaient un chapitre de la règle de saint Benoît en étant tous réunis dans un même lieu, «la salle du chapitre»). Depuis le mois de septembre ils sont dans cette période qui va durer jusqu’au lundi de Pâques 2019, date de l’élection du supérieur. Pendant ce temps de travail ils réfléchissent à la manière qui sera la plus appropriée d’assumer leur mission dans la société et l’époque actuelles.


‍La fraternité

‍Lors d’un précédent «chapitre» de la communauté, les messieurs ont décidé de créer une fraternité: il s’agit d’un groupe d’anciens, de parents, de grands animateurs, d’amis, qui s’engagent à prier pour les jeunes et la mission de l’Œuvre. Ils ont l’occasion de se réunir régulièrement et participent à des temps de réflexion et de partage. Il y a ainsi plus de 35 personnes à St-Sa et 25 aux Iris qui soutiennent la communauté dans sa mission auprès des jeunes.


‍Les laïques consacrées

‍Parmi les membres de la fraternité, il y a en a qui ont exprimé le désir de s’engager plus radicalement au service des jeunes et de l’Œuvre. C’est ainsi que Béatrice et Monique sont laïques consacrées depuis plus d’un an, attachées à suivre le Christ dans l’esprit de Jean-Joseph Allemand. Elles gardent leur logement, leur travail et leur vie de famille, mais consacrent une grande partie de leur temps libre au service de l’Œuvre, pendant les heures d’ouverture et en étant rattachées aux groupes pendant les séjours de vacances.


‍Les vocations

‍La communauté, à la suite de Jean-Joseph Allemand, «a confiance en Dieu» quant à l’avenir de l’Œuvre. C’est pour cela que les messieurs prient quotidiennement pour que des jeunes entendent l’appel du Seigneur à s’engager à se mettre au service des autres, en particulier dans le cadre des Œuvres, afin que cette belle mission se poursuive. Cette mission, c’est celle que Monsieur Allemand avait lui-même reçue comme un appel du Seigneur: aider les jeunes à se sanctifier, c’est-à-dire à se réaliser en découvrant la joie du don de soi et de l’engagement.



‍La Fraternité OJJA 


‍Il s’agit d’un groupe de parents, d’anciens, d’actifs et d’amis de l’Œuvre qui se retrouvent régulièrement pour prier avec la communauté des Messieurs (les religieux qui dirigent la maison et que vous connaissez bien puisqu’ils sont les permanents de St-Sa) et pour réfléchir sur la mission et la vocation de l’Œuvre. Chacun s’engage à prier régulièrement pour la communauté et pour les jeunes qui fréquentent l’Œuvre, au rythme et de la manière qui lui semble la plus appropriée. Un temps de prière commune est proposé tous les vendredis soir autour de l’office et de la messe. Chacun est libre de venir partager la prière de la communauté durant les temps d'office et d’Eucharistie les soirs de semaine, selon ses disponibilités. De même pour la messe à Notre-Dame-de-la-Garde le samedi matin (à 7 h 25 dans la crypte). Enfin quelques temps forts de partage, de réflexion, de célébration et de convivialité sont proposés au cours de l’année afin de leur permettre de se retrouver plus formellement, parfois avec la Fraternité des Iris.

‍Cette Fraternité a une grande importance à nos yeux, car elle nous rappelle que l’essentiel n’est pas dans l’activisme ou l’efficacité. Il y a divers moyens d’aider l’Œuvre, de manière concrète et matérielle, mais cependant nous pensons que la prière et la vie spirituelle sont le cœur de ce qui se vit dans nos maisons. Notre fondateur, le père Jean-Joseph Allemand (à l’époque on disait Monsieur Allemand), a tenu à signifier la complémentarité entre l’action et la contemplation par cette devise fameuse dans nos Œuvres : «ici on joue, ici on prie». Le Christ tout au long de sa vie a voulu signifier que le spirituel et le matériel n’étaient pas en opposition mais qu’ils étaient en union, de même que le ciel et la terre sont unis en Jésus lui-même, à la fois homme et Dieu.

‍La mission de l’Œuvre est d’accompagner les jeunes sur leur chemin de croissance et de maturité afin qu’ils découvrent la manière dont ils seront acteurs de leur vie et engagés dans le monde pour le transformer de l’intérieur afin qu’il devienne plus juste et plus fraternel. C’est ce que le langage religieux nomme "la vocation" : chacun peut trouver le chemin de vie qui lui sera propre et lui permettra de donner le meilleur de lui-même au service du bien commun. L’Œuvre essaye d’accomplir cette belle mission à la suite de Monsieur Allemand. Nous croyons surtout que cette mission est celle de Dieu qui agit à travers tous ceux qui participent de manière active, physique et spirituelle à la vie de nos maisons des Iris et de St-Sa. La Fraternité à un rôle essentiel dans l’accomplissement de cette mission.

‍La communauté des Messieurs de l’Œuvre


‍Avis de recherche

‍Les Baladins de la Chanson recrutent… 


‍Comme la plupart d'entre vous le savent certainement, les Baladins de la Chanson sont nés ici même à l'Œuvre, il y a maintenant 65 ans. Au fil des années, de nombreuses personnes sont venues grossir les 9 choristes du départ, et ce groupe ne pourra continuer sa route que si d'autres les rejoignent.

‍Ce chœur à voix égales d'hommes a eu la chance de compter parmi ses membres des personnes comme André Poutchy et Guy Morançon qui ont composé et harmonisé des chansons magnifiques qui font partie de leur répertoire. D'autres pièces sont également à leur programme, comme des chants en provençal, des chants de la mer, des chants de Noël, des pièces religieuses, etc.

‍Leurs principales activités sont des participations à des concerts organisés dans la région ou ailleurs (au mois de juin ils iront chanter en Alsace), de réaliser des enregistrements, de renouveler et enrichir leur répertoire au travers de rencontres avec d'autres chœurs.

‍Les répétitions sont hebdomadaires et se déroulent à l'Œuvre le lundi soir de 20h30 à 23h.

‍Si certains parmi vous, ou dans votre entourage immédiat, voulaient s'essayer au chant choral, qu'ils frappent à leur porte ils seront les bienvenus.

‍Pour les contacter:

‍        leur adresse mail > lesbaladinsdelachanson@yahoo.fr 

‍        leur page facebook > les baladins de la chanson Marseille

‍        ou par téléphone >      Jean-Pierre Perrin-Turenne: 06 09 01 04 98

‍                                            Alain Petibon: 06 29 83 45 49

‍                                            Patrick Richard: 06 84 10 25 26



‍Monsieur

‍« Les Messieurs de l’Œuvre»  : c’est ainsi que l’on appelle les religieux de la communauté qui est responsable de l’Œuvre.

‍«Monsieur» est sous l'Ancien Régime et au début du XIXème  un terme de politesse pour s'adresser à un personnage laïc de qualité ou un prêtre avec une légère nuance de subordination. Vincent de Paul était appelé «Monsieur Vincent», et le fondateur des Saint-Sulpiciens, «Monsieur Ollier». L'évêque était couramment dit «Monsieur de Marseille ou de Paris» – alors qu'au début du XXe on appellera plutôt ainsi ironiquement le bourreau: c'est dire à quel point le terme s'est banalisé et a perdu son aspect déférent.

‍L'abbé Allemand était apparemment appelé «Monsieur Allemand»: il a donc dû en être de même pour ses successeurs laïcs, le terme n'étant nullement réservé au clergé.

‍Certains prêtres du Sacré-Cœur avaient le titre de «père de jeunesse» lorsqu'ils «faisaient l’Œuvre», peut-être dérivé de l'usage de vocabulaire des «pères» jésuites, qui étaient des réguliers. Mais je ne pense pas que les enfants leurs disaient «mon père» car ils étaient séculiers (l'Histoire des prêtres du Sacré-Coeur du chanoine Brassevin ne le mentionne pas et les désigne tous par «Monsieur»). L’habitude d’appeler un prêtre séculier de paroisse «le père untel» viendrait de l'italien et s'est progressivement répandue à l'époque contemporaine, d'abord sous la forme orale «mon père» et aujourd'hui à l'écrit. Jusqu'à la fin du XIXème siècle, on ne désignait ainsi qu'un religieux-prêtre, jésuite ou d'ordre mendiant.

‍Régis Bertrand




‍Annonce : vente Allos


‍Voici l’annonce officielle pour la vente du chalet d’Allos dans lequel les jeunes de l’Œuvre sont allés pendant de nombreuses années pour les camps de ski….

‍    •    Chalet (anciennement centre de vacances), à 4km d'Allos, à Villard Bas.

‍    •    Sur 2 étages, exposition sud, 400 m2 environ + 170m² de combles.

‍    •    10 chambres, cuisine, salle d'eau, toilettes, travaux à prévoir.

‍    •    Prix : 180000 €

‍    •    Contact : Thibault Duron au 06 20 21 81 38






‍Portail de l’Œuvre


‍Pour ceux qui n’ont pas l’occasion de passer devant l’Œuvre aux heures de fermeture, voici le graff qui orne maintenant le rideau roulant sur la rue Saint-Savournin…

‍Il a été réalisé par un jeune artiste, Tom Cerdan (http://decograff.wixsite.com/tetalone).